Brobeck Jean-Paul - Un miroir pour trois visages
La mesure de la lumière : 3° partie
Dans les deux premiers tutoriaux, nous avons abordé les problèmes théoriques et techniques de la mesure de la lumière. Passons maintenant aux choses pratiques.
Je crois que j’ai suffisamment insisté sur le fait que je suis partisan des réglages manuels. Pourtant je ne me prive nullement des automatismes qui sont la plupart du temps actuellement au point.
Je vais donc juste vous donner quelques petites indications pratiques, si j’ai réussi à vous convaincre d’utiliser les réglages manuels.
La mesure ponctuelle :
Photographier c’est avant tout faire un choix, en dirigeant son regard sur ce qui nous intéresse. En faisant ce choix vous avez donc défini la partie dont il faut mesure la luminosité.
Pour cela, il n’y a pas trente-six façons de procéder. Il faut vous rapprocher de votre sujet de façon à ce que aucun autre élément ne vienne influencer – disons perturber – cette mesure.
Quand vous aurez donc effectué vos réglages, vous allez reculer afin de cadrer comme vous le désirez.
Si votre appareil est automatique, il va refaire la mesure de la luminosité et vous serez piégés.
Si votre appareil est en position manuelle, vous ne touchez pas aux réglages que vous venez de faire même si votre appareil vous prévient qu’il risque d’y avoir une erreur.
Autre possibilité :
Il existe des appareils qui permettent de mémoriser la mesure de la lumière. Dans ce cas :
- vous faites votre mesure ponctuelle,
- vous presser le bouton de mémorisation,
- vous cadrez
- vous déclenchez.
Remarques annexes :
Une photo sur-exposée pose d’avantage de problème qu’une photo sous-exposée. En effet, quand les hautes lumières sont « grillées » vous aurez bien du mal à récupérer la photo même si vous être un as des logiciels de retouche.
Une photo sous-exposée, n’est pas l’idéal non plus, mais en général il est plus facile de la rattraper.
Dans les deux premiers tutoriaux, nous avons abordé les problèmes théoriques et techniques de la mesure de la lumière. Passons maintenant aux choses pratiques.
Je crois que j’ai suffisamment insisté sur le fait que je suis partisan des réglages manuels. Pourtant je ne me prive nullement des automatismes qui sont la plupart du temps actuellement au point.
Je vais donc juste vous donner quelques petites indications pratiques, si j’ai réussi à vous convaincre d’utiliser les réglages manuels.
La mesure ponctuelle :
Photographier c’est avant tout faire un choix, en dirigeant son regard sur ce qui nous intéresse. En faisant ce choix vous avez donc défini la partie dont il faut mesure la luminosité.
Pour cela, il n’y a pas trente-six façons de procéder. Il faut vous rapprocher de votre sujet de façon à ce que aucun autre élément ne vienne influencer – disons perturber – cette mesure.
Quand vous aurez donc effectué vos réglages, vous allez reculer afin de cadrer comme vous le désirez.
Si votre appareil est automatique, il va refaire la mesure de la luminosité et vous serez piégés.
Si votre appareil est en position manuelle, vous ne touchez pas aux réglages que vous venez de faire même si votre appareil vous prévient qu’il risque d’y avoir une erreur.
Autre possibilité :
Il existe des appareils qui permettent de mémoriser la mesure de la lumière. Dans ce cas :
- vous faites votre mesure ponctuelle,
- vous presser le bouton de mémorisation,
- vous cadrez
- vous déclenchez.
Remarques annexes :
Une photo sur-exposée pose d’avantage de problème qu’une photo sous-exposée. En effet, quand les hautes lumières sont « grillées » vous aurez bien du mal à récupérer la photo même si vous être un as des logiciels de retouche.
Une photo sous-exposée, n’est pas l’idéal non plus, mais en général il est plus facile de la rattraper.
